Et son odeur qui frappe aux portes de mes sens
Quand je tombe étourdie là contre ma maîtresse
Et que je bois jusqu’à plus soif son corps penchant.
J’aime l’amour
Et les cheveux défaits de ma mienne maîtresse
A genoux
Pour baiser mon intimité de femme arrogante.
J’aime l’amour
Son cri qui m’enivre à tue-tête
Et ses mots qui sans cesse en redemandent
Aux saveurs d’Absinthes.
J’aime l’amour outré
Qui titube
Et s’arrête au seuil creux de la mort
Pour se savoir vivant.
J’aime l’amour
Si vrai qu’un ventre qu’il féconde
Et je te dis mon ciel
Merci pour le présent.
Belle ode!
RépondreSupprimerSouvenir, souvenir
RépondreSupprimerCes moments inoubliables ou tout s’arrête
reviennent dans mes pensées
comme le va et viens
de la marée.
existe t il cet amour
si fort et si enivrant
pour lequel on est prêt a tous
à jamais impossible et sans retour.
G. A